Bon, j'en étais au café, j'ai mis la télé pour avoir les infos, c'était la météo. Et la nana disait "ce début d'année débute dans la douceur". Douceur n'est pas le mot qui qualifie le mieux le geste d'énervement qui m'a permis d'éteindre sur le champ la télé. Je sais qu'un jour férié, on file le taf aux stagiaires, remplaçants, punis et autres dix-neuvième roue du carrosse. Je sais aussi que savoir parler à peu près correctement n'est plus un prérequis depuis longtemps, ni en télé, ni en politique. Mais au temps de l'ORTF, c'était un coup à être muté pour aller présenter la météo sur les îles Kerguelen, histoire de faire marrer les pingouins. Autres temps, autre mœurs, les pingouins d'aujourd'hui peuvent dormir tranquilles.
Et je sors d'une nouvelle panne de réseau, plus de 15 jours cette fois-ci. Il y a un moment où ça finit par torpiller le travail, l'écriture d'articles demandant à vérifier des référence, certaines traductions où il faut vérifier des citations, etc. Dans ce cas, plutôt que de glander, j'en profite pour avancer sur des projets moins dépendants de ma connexion, comme Mitan n°3, pour écrire une nouvelle à la volée, ou pour mettre de l'ordre dans de vieux trucs. Là, par exemple, j'ai ressorti tout plein de vieux scénarios de BD inédits. Certains demandaient à être complétés, c'est comme ça que j'ai fait un choix radical et terminé un script sur François Villon que je me traîne depuis des années parce que je ne parvenais pas à débusquer un élément précis dans la documentation, et du coup je l'ai bouclé en quelques jours. D'autres demandaient un coup de dépoussiérage, mais sont terminés depuis un bail et n'ont jamais trouvé de dessinateur ou d
Commentaires
On a du faire des générations de pingouins analphabètes....
Bonne année, meilleurs vœux! ^_________^
c'était pour voir si vous suiviez, maître.
hop, c'est correctionné... correctitudifié... remis bien, quoi.